Loïc
Schneider est un jeune poète de vingt ans. Il écrit la nuit. Et jusqu’à
l’aurore son cœur haletant encore, il écrit. Aux lueurs du jour, il croit
toujours à l’écho de ses rêves. Ses poèmes sonnent l’alarme, réveillent les
dormeurs que nous sommes. Loïc rêve éveillé d’un monde meilleur. Il rêve
d’utopie et il entend la souffrance du monde et aussi sa splendeur.
Puis
à l’aube, il chevauche son vélo et parcourt les routes de France et les rues
des villes. Ou bien il part en forêt à la rencontre de la beauté qui l’inspire
jusqu’au soir.
Loïc
rejoint à cet instant la communauté des poètes disparus, et retrouve les grands
écrivains qui l’inspirent : Tolstoï, Gandhi, Henry David Thoreau ou Jack
London. Loïc est un poète qui danse sous les orages et sous la pluie s’évade.
Le
poème pour lui est fidélité qui interroge : « Suis-je mort au ruisseau des folies de ce monde ? » Non,
car la poésie l’aide à vivre. Elle est aussi un combat qu’il mène contre
l’injustice, le mensonge, l’hypocrisie, parfois le visage caché sous le masque
des Anonymous. Il est à Sivens aux
côtés de Rémi Fraisse à l’instant de sa mort, il est à Bure, à
Notre-Dame-des-Landes. Il est de tous les combats contre ce monde dominé par le
calcul froid égoïste et la destruction.
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C'est encore plus le moment de lire les poésies de Loïc
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